mercredi 13 février 2019

LETTRE OUVERTE


Palma, le 10 février 2019

Monsieur le conseiller d’Education des Iles (illes) Baléares.

     Je vous écris cette lettre ouverte sur notre journal local dans(à) l'intention de vous faire connaî(âi)tre mes sentiments et aussi apporter ma réflexion (penser) sur un sujet très important comme (c')est l'éducation de nos jeunes dans les écoles.
     En(Au) même temps, je veux dénoncer un fait qui m’a beaucoup inquietée sur cette problématique.
Il y a  des écoles publiques/sous contrat (concertées)/privées en rapport aux lois déjà établies dans notre pays et communauté autonome(ique). Je suis pour l'éducation des garçons et des(les) filles dans la même école, c'est-à-dire: la coéducation.
    Jusqu'à(au) ce moment, je croyais que pour qu'(e) une école publique ou sous contrat puisse bénéficier (concertée pourrais'aprofiter) de l'argent public(que), il fallait qu'elle suive (faudrait-il qu'elle suivrait) les règles données par les lois éducatives en vigueur (vigentes) dont la coéducation fait partie (est une d'entre elles) et est très importante à mon avis.
    Cette règle n'est pas appliquée (Ce fait n'est pas accompli) dans toutes les écoles à Majorque.Par exemple l'autre jour, je me promenais près de l'université (UIB) .Tout à coup j'ai entendu les cris joyeux d'une cour d`école. Il s’agissait d’un groupe de jeunes filles dans la cour d’un énorme bâtiment entouré d’arbres, de monta(i)gnes, et  de champs cultivés...en plein air...
     Les jeunes filles auxquelles j'ai(vais) demandé les noms de ces bâtiments m'ont raconté qu'il s'agissait de deux écoles appellées AIXA et LLAÜT, sous contrat (concertées), bien sûr.
     Arrivée à ce point, (Viens ce moment,) Monsieur le conseiller,  je me demande ce qui suit: pour quelle raison ont-elles, ces (les) écoles, le droit de(à) recevoir de l'argent public(que) si :
1-Elles ne respectent pas la co.éducation(lois nécessaires pour accéder aux fonds publics).
2-On ne (se) respecte pas la liberté de culte(s). Même les parents doivent passer par une sorte d'examen à propos de leurs principes religieux.

    Le but de cette lettre ouverte (c')est la demande d'un contrôle PUBLIC(QUE) de cette situation évidemment(ntment) injuste et irreguliêre(er) pour l'ensemble des écoles publiques, de plus en plus pauvres et en manque (manquée) de ressources.
   Pour finir, j'espère que je n'écris et ne publie pas cette lettre (en espérant que cette lettre ne sera pas publiée) en vain (vainement).
   Salutations respectueuses.


Marian Barcelo.
Enseignante à la retraite.

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