Palma, le 10 février 2019
Monsieur le conseiller d’Education des Iles (illes) Baléares.
Je vous écris cette lettre ouverte sur notre journal
local dans(à) l'intention de vous faire
connaî(âi)tre mes sentiments et aussi apporter ma réflexion (penser) sur un sujet très important comme (c')est l'éducation de nos jeunes dans les écoles.
En(Au) même temps, je
veux dénoncer un fait qui m’a beaucoup
inquietée sur cette problématique.
Il y a des écoles publiques/sous contrat (concertées)/privées
en rapport aux lois déjà établies dans notre pays et communauté autonome(ique). Je suis pour l'éducation des
garçons et des(les) filles dans la même école, c'est-à-dire: la coéducation.
Jusqu'à(au) ce moment, je croyais que pour qu'(e) une école
publique ou sous contrat puisse bénéficier (concertée pourrais'aprofiter) de l'argent public(que), il fallait qu'elle suive (faudrait-il qu'elle suivrait) les règles données par les
lois éducatives en vigueur (vigentes) dont la coéducation fait partie (est une d'entre elles) et est très
importante à mon avis.
Cette règle n'est pas appliquée (Ce fait n'est pas accompli) dans toutes les écoles à Majorque.Par exemple
l'autre jour, je me promenais près de l'université (UIB) .Tout à coup j'ai
entendu les cris joyeux d'une cour d`école. Il s’agissait d’un groupe de jeunes filles dans la cour
d’un énorme bâtiment entouré d’arbres, de monta(i)gnes, et de champs cultivés...en plein
air...
Les jeunes filles auxquelles j'ai(vais) demandé les noms de ces bâtiments m'ont raconté qu'il s'agissait de deux écoles
appellées AIXA et LLAÜT, sous contrat (concertées), bien sûr.
Arrivée à ce point, (Viens ce moment,) Monsieur le conseiller, je me demande ce qui suit: pour quelle raison
ont-elles, ces (les) écoles, le droit de(à) recevoir de l'argent public(que) si :
1-Elles ne
respectent pas la co.éducation(lois nécessaires pour accéder aux fonds
publics).
2-On ne (se) respecte
pas la liberté de culte(s). Même les parents doivent passer par une sorte
d'examen à propos de leurs principes religieux.
Le but de cette lettre ouverte (c')est la demande d'un contrôle PUBLIC(QUE) de cette situation évidemment(ntment) injuste et irreguliêre(er) pour l'ensemble des écoles publiques, de plus en plus pauvres et en manque (manquée) de ressources.
Pour finir, j'espère que je n'écris et ne publie pas cette lettre (en espérant que cette lettre ne sera pas
publiée) en vain (vainement).
Salutations respectueuses.
Marian Barcelo.
Enseignante à la retraite.
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