mercredi 29 octobre 2014

LE CONCOURS DE POLARS 2014 2015

Concours du meilleur polar: une aventure collective. (EOI de Palma et d'Inca B2 et C1 de Palma)


150 mots maximum par chapitre. Lecture en public du polar  et remise des prix en décembre. 

Fiche technique du Commissariat 

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Fiche technique artistique 


L'univers de ? Miquel Barceló (Proposition)



vendredi 17 octobre 2014

Rédaction RUE



REVENU UNIVERSEL D’EXISTENCE (RUE)

Jeudi dernier à 20h30 à la salle Polyvalente de notre lycée a eu lieu un débat pour exposer et parler de(sur) la convenance ou non d’instaurer un RUE en France.
De nombreux économistes et politiciens y ont participé. Le débat a été très intéressant car cette mesure a des détracteurs et des défenseurs autant chez les libéraux que chez les conservateurs (de la pensée libérale comme de la conservatrice).

Le RUE c’est la solution parfaite aux problèmes de la pauvreté, de l’emploi, des jeunes et des exclus sociaux. Pourtant, je crois que le RUE c’est une utopie que la société française ne peut pas faire réalité.

D’une part, le versement d’un revenu universel pourrait avoir un impact négatif sur le marché du travail. Le risque(,) serait que certaines personnes décideraient d’arrêter de travailler ou de réduire leur temps du travail. Si les citoyens ne travaillent pas, ils pourront(aient) rester en marge de la société en plus de renforcer leur égoïsme. En plus, le RUE pourrait être un mécanisme de pression pour baisser les salaires et augmenter aussi la précarisation.

D’autre part, le gouvernement devrait augmenter les impôts pour résoudre le problème du financement du RUE et ça provoquerait une diminution du revenu disponible des travailleurs.

Finalement, je crois qu’il n’y a aucune formule magique pour (qui) résoudre tous les problèmes sociaux comme par exemple la concession du RUE mais que la société toute entière doit(ve) travailler pour arriver à l’égalité et à la justice sociale.


13/20

mercredi 15 octobre 2014

Le revenu universel d'existence, une conquête sociale ou un piège?


Sous le titre «Faut-il instaurer un revenu universel d'existence (RUE)?, le 20 septembre s'est célébré un intéressant débat à la salle Polyvalente de notre lycée qui a connu (eu) une grande assistance et un énorme succès.


De manière périodique, paraît dans les mass media le sujet de la convenance d'instaurer en France un RUE, mais jusqu'à aujourd'hui aucun gouvernement (de droite ou de «gauche») n'a (pas) fait (aucun) de pas en avant pour le mettre en pratique. Il semble que «nos» représentants tentent de convaincre l'opinion publique et qu'ils attendent (espèrent) le moment idéal pour prendre les mesures nécessaires.

Pour connaître les arguments des partisans de cette mesure et pouvoir les combattre, la délégation du Syndicat d'Étudiants de notre lycée a organisé un débat avec la participation des forces politiques majoritaires (UPF, PS, PCF) et des forces ouvrières (LCR). Le Front National a décliné l'invitation de participer à l'acte, mais a envoyé un communiqué en faisant observer son opposition au RUE.

Les représentants de la droite et de la «gauche» dressée ? ont répété les mêmes arguments que nous écoutons depuis longtemps (beaucoup d'années) en faveur du RUE, en le présentant comme une sorte de panacée qui résoudrait toutes les différences et les injustices de notre société. Véritablement, ils paraissaient des vendeurs ambulants (en) faisant l'article (la publicité) de leur "breuvage magique" et la majorité des assistants se demandait pourquoi ils avaient autant d'intérêt quand, en principe, il s'agit d'une mesure «progressiste».

Les partisans ont fait une démonstration d'arguments favorables adressés (dirigés) à tous les secteurs de la société et surtout aux plus défavorisés. Le RUE favoriserait l'indépendance des jeunes en les permettant de s'émanciper sans l'aide de leurs parents, le RUE favoriserait les pauvres qui verraient (auraient) leurs nécessités couvertes et permettrait de supprimer les aides sociales car elles ne seraient plus (pas) nécessaires ; le RUE permettrait aux travailleurs de prendre une permission sabbatique en faisant augmenter les offres d'emploi, le RUE ferait augmenter les activités bénévoles,.. Et le meilleur argument: le RUE permettrait aux (à les) institutions publiques d'économiser puisque cela coûterait moins cher que les aides qui existent actuellement. Conclusion : le RUE c'est la vie en rose.

Joan Daniel Beszonov, le camarade de la LCR. a démontré le caractère trompeur (la tromperie) de tous ces arguments et le piège qui se cache derrière le RUE. Il nous a fait noter que, dans un monde très globalisé, les grands monopoles et les grandes multinationales dominent tous les secteurs de l'économie mondiale et les gouvernements sont seulement les exécuteurs des politiques que le grand capital marque.

Les ennemis traditionnels de la classe ouvrière (les bourgeois, les propriétaires de petites et moyennes entreprises (usines)...) sont appelés à disparaître, vaincues par des (unes) élites mondiales qui marquent les règles du jeu. C'est dans cette conjoncture qu'on doit comprendre l'intérêt des politiciens, les "laquais" de ces élites, pou(a)r le RUE.

Les grandes entreprises se préoccupent uniquement de leur bénéfice et non du bien-être de la société. De plus en plus, elles augmentent leur domination du marché, elles augmentent leur production, elles augmentent leurs bénéfices économiques... mais de plus en plus les petites et moyennes entreprises disparaissent, ce qui augmente le nombre des travailleurs qui sont au chômage ainsi que (, augmente) le nombre des jeunes qui cherchent leur premier emploi (métier)...

C'est-à-dire qu'il y a moins de travail à répartir et plus de bénéfices pour le capital. C'est une situation insoutenable et très dangereuse pour le système, qui peut déboucher sur (porter à) une explosion sociale aux(de) conséquences imprévisibles et pour laquelle il faut trouver une solution. Et peut-être, «les gouvernements l'ont-il trouvé(:en instaurant le RUE ; tout le monde a un minimun assuré et nous pouvons continuer avec nos négoces». Et sans mettre la main à leur porte-monnaie.

Mes copains, la conclusion du débat est évident: le RUE est une mesure réactionnaire, pas (non) une solution aux problèmes de la société. Il faut rester en alerte et continuer la lutte, car le capital ne se repose pas dans sa répression contre les étudiants et la classe ouvrière.
G.F.
Membre du Syndicat d'Étudiants

Production très élaborée. Richesse linguistique relativement correcte.

16/20

mardi 14 octobre 2014

UNE IDÉE INTÉRESSANTE

   Jeudi dernier j'ai assisté à un intéressant débat sur le RUE (Revenu Universel d'Existence). Une idée que je ne connaissais pas et qui semble n'(e pas) être associée à aucun parti politique. Il s'agit d'un versement à chaque individu dès le moment de sa (son) naissance. Un sorte de salaire pour le simple fait d'exister.

   J'ai trouvé cette idée magnifique. Elle te permettrait d'étudier quelles que (n'importe quels) soient tes ressources et de pouvoir vivre avec indépendance. C'est une grande solution pour vivre avec dignité si la situation t'est défavorable (bien que les choses viennent mal). C'est une aide pour toutes les femmes qui n'ont pas de(un) travail et qui dépendent de leurs maris. Je crois, aussi, que ça ferait du bien à la culture parce que la créativité serait séparée de l'argent.
   Ceux qui sont contre le RUE argumentent que ça fera augmenter les impôts. C'est vrai mais il y aurait une diminution des aides sociales. D'autres personnes disent que le RUE sera une(a) incitation à la démotivation et à la paresse. Peut-être, c'est un petit risque mais je crois qu'il n'y aura pas autant de gens qui abandonnereont (quittent) leur travail, au contraire, les gens chercheront des meilleures offres parce qu'ils n'auront pas besoin de prendre le premier emploi qui leur est offert (offrent).

   Il y a encore plusieurs questions à résoudre mais je considère cette idée comme très intéressante.

13/20


Le revenu universel d´existence

Un débat très intéressant a eu lieu jeudi à la salle Polyvalente: Le Rue. (Il manque ici une explication)

 Je suis d´accord avec la majorité des assistants. De nos jours où la crise menace tellement le budget de nombreuses familles, cette aide serait importante. Elle permettrait une plus grande égalité de chance. Une indépendance plus grande pour les jeunes qui pourraient étudier sans avoir à travailler et sans l´aide des parents si souvent étouffés par les frais et quelquefois sans travail.

Les adultes en difficulté auraient là aussi un soutien(t) sans avoir à faire appel au (demande du) bénévolat. Cela assure plus de dignité humaine. Je pense que le Rue, n´étant pas lié au travail, n´est pas forcément une incitation à la démotivation et à la paresse car ce n´est pas non plus un gros revenu. La plupart des personnes demandent à être actives et productives. Le travail n´est pas seulement un salaire, c´est aussi une réalisation personnelle. Le Rue aiderait justement ces personnes en marge de la société à pouvoir se réincorporer sans le sentiment d´être assistées puisque tout le monde recevrait cette aide (versement).

Les parents pourraient employer l´argent(,) attribué à leurs enfants, à leurs études secondaires, un Erasmus ou bien des vacances à l´étranger. En fin de compte enrichir leur éducation.

Le financement de cette mesure coûterait moins cher que toutes les aides sociales d´après un calcul fait par les Allemands donc il n´y aurait pas d'(une) augmentation des impôts. Les seuls privilégiés: les riches. Là aussi je ne vois pas de problème, il pourrait y avoir une augmentation des activités bénévoles. Un débat à suivre..

14/20

lundi 13 octobre 2014

FAUT-IL INSTAURER UN REVENU UNIVERSEL D’EXISTENCE (RUE) ?



À la suite de la polémique créée par l’annonce de l’instauration du revenu universel d’existence par le premier ministre de la République, je suis moralement obligée de défendre mon point de vue sur ce thème.
Comme vous le savez, hier soir, les membres de différents  partis politiques se sont réunis dans la salle polyvalente de notre école et ils ont fait un débat sur : Faut-il instaurer un revenu universel d’existence (RUE) ?
Après 2 heures de débat, ils n’ont obtenu aucune conclusion, mais j’ai les idées plus claires.
Pour commencer,  la droite croit-elle réellement qu’un RUE permettra l’indépendance des plus jeunes ? Je crois que non. Ça dépendra de leur situation économique et familiale. Les riches seront plus riches avec ces aides ; et les pauvres seront plus pauvres. Il y aura une c(r)assure sociale plus aggravée. Pourquoi donner ce RUE aux riches ?
Pour continuer, comment l’État financera-t-il ce RUE ?  Avec une augmentation des impôts ?  En noyant les pauvres qui n’arrivent pas à la fin du(de) mois ? Grâce aux bénéfices fiscaux, beaucoup de riches ne paient pas assez d’impôts. Tout le monde le sait.
Il me semble que le premier ministre parle beaucoup d’arguments favorables à cette instauration du RUE, mais il faut faire attention aux arguments  contre aussi. Il faudra réfléchir avant de prendre une décision si importante.

12,5/20

Production écrite (Joana Maria Sastre)

UN REVENU UNIVERSEL POUR(À) TOUS?

(Le) Jeudi dernier (passé) 2 (d')octobre, comme tous les premiers jeudis du mois, (il) a été organisé, à l'École de Langues d'Inca, un débat sur un thème d'actualité. Ce jour-là, des étudiants et des profs ont parlé de(sur) la possibilité d'instaurer dans (à) no(ô)tre communauté un revenu universel d'existence, une question défendue par des politiciens de droite comme de (et) de gauche. Le débat a été très complet(ète) et amusant, et il y a eu de bons arguments(bonnes thèses) apporté(e)s pour ou(et) contre (de) ce revenu universel dès la naissance.   (Très bonne introduction)

Après avoir écouté toutes les idées (écoutées), on est tombé d'accord que ça serait un changement très important dans no(ô)tre société, aussi important que (comme lesquels tellement comme) ceux de l'introduction de l'éducation publique ou de la santé gratuite pour tout le monde. Mais, on doit soupeser (voir(e)) si cela serait totalement (ça va être du tout) positif(ve)?

Tous, nous avons défendu l'idée (On défend) qu'introduire un revenu pour toutes les personnes nées dans nos (à nôtres) Îles serait un fait positif(ve), d'autant qu'il y a beaucoup de gens qui l'utiliseraie(o)nt bien et pour améliorer leur(sa) vie... Mais, on est aussi d'accord avec ceux qui le rejettent (nient le revenu universel) : quelqu'un pourra l'user pour s'en profiter mal, quelques jeunes (comme aujourd'hui les « ninis » espagnoles) pourront vivre sans étudier ni travailler parce qu'ils savent qu'ils ont un revenu par tout la vie...
Il y a des états comme par exemple la Finlandie, qui possèdent un système d'aides (par exemple, toute l'éducation (infantile, primaire et secondaire) finlandaise est gratuite; les mères ont un permis de maternité de trois années... Je crois que c'était mieux adopter un modèle d'aides aux citoyens comme le finlandaise que le revenu universelle dont on parle.
À l'Espagne, ça fait du temps que le gouvernement a payé 2500 euros à les familles quand il est né un enfant. Ça a été positive pour quelques-unes qui étaient très pauvres, mais cette aide extra a fait que beaucoup d'étrangères voulaient se faire espagnols pour recevoir cet argent. Quelques familles espagnoles ont eu d'autres enfants pour cacher d'autres 2500 euros...
À part de cet abus, on a discuté mis sur la table la question de si tous les parents doivent recevoir le même aide. On est d'accord que ne pas tous les familles ont besoin d'aide: elles n'ont pas les mêmes ressources. En ce point de vue, le magazine comique « El Jueves » a publié quelques images et histories rigolos à partir de l'idée que le prince Felipe et sa femme Letizia (aujourd'hui les rois espagnoles) aient été parents en ce moment. Est-ce qu'ils ont aperçu aussi de l'argent? Est-ce qu'on peut mettre à côté la famille royal et une famille avec les parents au chômage? Pour la royalesse, 2500 euros ne seront qu'un petit cadeaux duquel ils n'ont pas besoin, mais, pour une famille espagnole normale, 2500 euros ne sont pas suffisants pour nourrir et enlever totalement un enfant.


Je crois qu'un revenu ou quelque type d'aide personnel peut être une bonne idée pour améliorer la vie de tous, mais je pense qu'il ne peut être pas le même revenu pour un enfant né dans une famille riche, que pour d'autres de peux ressources. Ça serait plus juste que la quantité d'argent apporté aux enfants soit relié au patrimoine économique de sa famille. Et, surtout, après que l'enfant le puisse user, ça devra être révisé et contrôlé pour que l'argent soit utilisé pour faire des études, pour son aménagement, pour ouvrir une entreprise...; en fin, pour s'en profiter bien. 

Joana, c'est une production très élaborée d'un point de vue structurel mais il faut que tu améliores la richesse linguistique. Reprends ton texte et essaye de corriger tes trop nombreuses erreurs de forme (accords, temps verbaux...)

dimanche 12 octobre 2014

Le Rue pour commencer à changer le monde



                                                
L'argent fait bouger (meut) le monde, mais l'absence d'argent fait que nous ayons un type de vie ou un autre. La possibilité d'avoir un RUE peut être la solution pour que chacun parmi (de) nous s'ouvre un chemin vers la vie qu'il désire (nous ouvrons chemin pour avoir la vie que nous voudrions).
Après avoir assisté(e) au débat d'hier soir, je suis plus convaincue que jamais que nous devrions avoir un RUE pour améliorer notre qualité de vie et pour que TOUS les humains se sentent(aient) plus dignes et avec des forces pour réaliser leurs rêves.
Bien qu'il y ait (Si bien il y a) l'argument défavorable (l'idée) qu'avec le RUE on ne travaillerait plus(pas), je pense que si on a de l'argent on va travailler juste pour obtenir ce dont on aura besoin (seulement jusque on en aura besoin). Si vous pensez à votre vie, combien d'années vous allez travailler ? Quarante ? Quand aurez-vous la chance de vivre ?

En plus, avec un RUE, la plupart des aides sociales(ux) et particulières disparaîtraient, les plus riches et les plus pauvres auraient les mêmes possibilités : les riches pourraient faire leur(son) chemin sans dépendre de leur famille (dépendance familiale(ère), ayant ainsi plus d'indépendance (et avec plus d’indépendance), et avec cette aide l’exploitation infantile n’aurait plus lieu dans le monde,  et ça aiderait à sentir qu'on fait partie d’une société plus juste.

Enfin, avoir un RUE pourrait être le début (principe) du chemin pour l'égalité dans le (au) monde, pour que tous aient les mêmes chances et facilités pour arriver à leur(son) but.

14/20

Production écrite

                                          LE REVENU UNIVERSEL D'EXISTENCE
                                                      (Isabel Mª González B.)

       Jeudi dernier j'ai assisté à un débat très intéressant sur l'éventuelle nécessité d'établir un revenu universel d'existence (RUE). Il a été annoncé qu'il y a des partisans de cette mesure situés aussi bien à droite qu'à gauche et qu'ils sont de plus en plus nombreux.

       À mon avis, cela contribuerait à éradiquer la pauvreté la plus grave dans notre monde, et juste pour cette raison, ce RUE devrait être mis en place le plus rapidement possible. Selon les partisans de la mesure, ce RUE permettrait l'indépendance des jeunes, donnerait la possibilité d'avoir plus de dignité humanine et aussi de liberté individuelle. Et si quelqu'un se demande si l'économie des différents pays pourrait supporter cette charge, les Allemands ont calculé qu'un possible RUE coûterait moins cher que toutes les aides sociales que les gouvernements doivent payer. Explique davantage cette idée.

       Cependant, malgré tout ce qui précède, il est clair que cette mesure devrait être appliquée avec d'autres mesures complémentaires. Un exemple de ces mesures serait l'éducation, parce que, il(c')est très possible que, si une personne qui appartient à un milieu défavorisé (contexte pauvre) reçoit simplement un revenu, si elle ne sait pas bien le gérer, elle va tomber dans la pauvreté à nouveau.

       En conclusion, je considère que l'argent seul n'est pas la solution à tout, et qu'on devrait offrir une formation contextualisée qui favoriserait les valeurs éthiques et la connaissance de l'économie locale et aussi globale. De cette façon, on pourrait éviter l'élargissement de la cassure sociale qui créerait une classe d'oisifs pauvres face à une classe d'actifs plus riches.

14/20