jeudi 29 novembre 2018

Mon entrée sur Wkipédia

Francisca Joana Mora Monserrat, dite Xisca, née à Llucmajor (Illes Balears) le 26 novembre 1962 est une fonctionnaire espagnole qui travaille dans le gouvernement des Baléares.
Elle(a) commença à travailler (son étape de travail) dans un cabinet(bureau) de psychologie après avoir abandonné(e) ses études à(aux) 17 ans. (Il était) Après avoir passé un an dans ce bureau ,(qu')elle comprit que son futur n'était pas là.
ENFANCE ET ADOLESCENCE
Elle résida jusqu'à ses(les) 18 ans à Llucmajor, une ville (village) près de Palma où elle profita d'une enfance heureuse pleine de(s) randonnées à la campagne et d'(es) activités qui favorisèrent le respect de la nature et aussi d'une adolescence drôle et amusante.
Elle alla (assista) à l'école primaire Nuestra Señora de Gracia où elle connut la langue française à l'êge de 8 ans et pour laquelle elle s'intéressa dès le début de la première classe.
Elle étudia le baccalauréat au lycée de sa ville(le village) et bien qu'elle l'ait réussi (e réussit), à(aux) 17 ans elle(s) décida d'arrêter ses études et commença à travailler.
ÉTAPE PROFESSIONNELLE
Pendant toute l'année où (qu')elle travailla dans ce cabinet (au bureau) de psychologie, elle se rendit compte qu'elle s'était trompée et recommença ses études.
Elle réussit l'examen pour travailler au(dans le) Ministère du Travail et y commença à travailler en mai 1982 ; elle avait 19 ans.
Cette étape fut paroxodale : bien qu'elle soit consciente (néanmoins elle se dit) qu'elle n'aimait pas étudier, elle commença ses études à l'Université des Baléares (Balears) en (au) même temps qu'elle travailla tous les matins au (dans le) Ministère. Après (les) trois ans, elle fut (a été) diplomée avec d'excellentes notes et à partir de ce moment-là, Xisca ne s'arrêta jamais d'étudier.
Avec son diplôme universitaire, elle se présenta (s'est presentée) au concours pour améliorer ses conditions de travail et a obtenu une bonne note.
Elle continua à se spécialiser en assistant aux programmes spécifiques sur des thêmes Relaciones Laborales, à Madrid, Valladolid, Barcelona et des differents programmes organisés à l'UIB où elle a dispensée aussi des classes.
Pour compléter sa formation, Xisca réalisa aussi des études de catalan ainsi que des études de français et d'anglais.
ACTUALLEMENT
Xisca travaille dans la Conselleria du Travail où elle peut apliquer presque toutes les choses qu'elle a apris pendant son étape d'études.

lundi 26 novembre 2018

Résumé du chapitre 23

Camille était orgueilleuse de ses progrès. Cependant elle était perturbée dans son esprit, et fit(fait) part de cela à Claude. Pour apaiser Camille, il lui(la) recommanda des séances de méditation. Au début, Camille trouva cet exercice nul et une perte de temps. Mais face aux arguments de Claude, elle finit par céder à la requête. Alors Claude lui(l')expliqua le déroulement de 2 exercices (la méditation et l'harmonisateur). Et que pour plus de détails (qu')il fallait s'adresser à un vrai maître de la question (Maître Wu). Aussitôt il se proposa pour conduire Camille chez "M.Wu" et que après ça ses doutes se dissiperaient(ont). Une fois arrivée(er), Camille fut surprise de voir que le fameux "M.Wu" n'était qu'un splendide chat domestique. Du coup Camille se tourna et lança un regard furibond à Claude, qui, s'excusa avant de se retrancher dans la cuisine. Finalement elle n'en voulut plus à Claude, car elle sortit apaisée et détendue après ce petit tour.

14/20

Résumé chapitre 23

Camille voit les résultats de sa(son) transformation, mais elle est consciente que l’effervescence des changements lui(’)ébouillante(nt)  l’esprit et elle se sent souvent stressée.

Claude lui  propose de commencer à faire des exercices de méditation et il croit que c'est(cet) un bon moment pour apprendre à respirer et pour apprendre à créer des moments de bien-être et de sérénité. Il lui conseille de construire un petit catalogue d’images et de souvenirs positifs, qu'elle pourra consulter (auquel saisir) quand elle aura besoin d’un moment de tranquillité et de bonheur. Malgré tous ces arguments, Camille ne croit pas que la relaxation soit faite pour elle, elle aime être toujours en mouvement. 

Le routinologue l’accompagne pour connaître un véritable maître en méditation, quelqu’un avec de l' expérience qui pourra (puisse)  l’aider à contrôler ses (leurs) nerfs et sa(la) respiration. Après un voyage de 45 minutes, ils arrivent chez Jacqueline, une amie de Claude. Camille se sent déçue car elle pensait (à) trouver un homme asiatique et, néanmoins,  Claude lui  présente un formidable chat persan (comme) M. Wu.

Après la première impression négative, Camille regarde attentivement le chat et elle comprend(ne) que tout ce que lui avait dit Claude était vrai (c’est vrai tout que l’avait dit Claude) : elle se sent envahie par une agréable sensation de paix en regardant la respiration tranquille du chat  et elle pense que ça a été une bonne idée.

13/20

dimanche 25 novembre 2018

RÉSUMÉ CHAPITRE 23

Camille, malgré les progrès réalisés sur le chemin d’autoconfiance montré par Claude, ressent qu'il y a quelque chose qui perturbe son calme, et cela l’empêche de détendre ses nerfs.

C’est alors que Claude conseille (à) Camille sur les avantages de faire de la méditation. Mais elle refuse cette idée, elle dit que la méditation n’est pas faite (a pas été fait) pour elle. À la fin, avec un peu d’embarras elle accepte et promet d’essayer, avec des séances de respiration profonde, paisible avec une visualisation positive, ça veut dire, avec un souvenir qui la(lui) remplit de joie, en visualisant des images très agréables.

Pour l’aider, Claude lui conseille de rencontrer un grand expert en méditation, Maître Wu. Quelle surprise pour Camille de connaître l’identité de Maître Wu, puisqu(e)’elle s’attendait à voir une personne avec des traits orientaux, mais à la place il y avait un splendide chat persan.

Claude lui indique les pas pour apprendre à être détendue et relaxée en faisant le chat, ça veut dire être paisible et calme. Camille se sent surprise quand elle se sent e(i)nvahie par une agréable sensation de paix en regardant seu(e)lement les mouvements du chat. C’est à (en) ce moment-là que Camille a compris le sens de l’enseignement de Claude.

Pense à te relire Joana  14/20

Résumé chapitre 23

Malgré toutes les avancés que Camille a déjà accomplies, elle continue a ressentir une fébrilité pénible et donc Claude lui conseille de pratiquer la méditation activement.
Au début Camille se plaint(gne) car elle a horreur de rester immobile à ne rien faire et elle croit que tout cela n'est pas fait pour elle.

Camille n'a pas assez confiance en elle mais Claude si(il y en a). En fait, elle a déjà réussi dans (avec) d'autres domaines et il (en) est sûr que dans celui-ci elle y parviendra aussi.

Il lui explique deux techniques simples : la première, consistant en(à) des séances de respiration profonde(s); et l'autre, celle(celui) qu'il appelle l'harmonisateur, consistant à s'asseoir confortablement, dos droit, dans un endroit isolé avec la main sur le (au) coeur, avec une respiration paisible et visualisant ce qui se gonfle y  ce qui se vide à chaque respiration, en ajoutant dans son (au) cerveau une visualisation positive. Il lui conseille de se préparer (faire avec) un catalogue intérieur d'images et souvenirs positifs.

Finalement, pour lui montrer (est) ce qu'il veut dire avec un exemple clair il la conduit voir Maître Wu, un chat appartenant à Mme Jacqueline, qui dort dans le salon très calmement. Sur (Dans) la route pour aller voir ce chat Camille en profite pour mettre en marche les respirations dont ils ont parlé auparavant et Claude (en) est très fier d'elle.

En voyant ce chat, elle comprend(s), malgré les premiers instants de scepticisme et même d'une petite colère car elle pensait que Maître Wu (c')était un monsieur, (est-)ce que la paix est, et en le regardant (ce chat) elle se sent vraiment apaisée. La chapitre finit(s) avec tous(t) les trois mangeant une tarte aux quetsches et avec le (un) sentiment d'avoir bien profité du(le) déplacement.

Manu, je crois qu'une relecture serait bénéfique pour enlever plusieurs petites bêtises.  14/20

Mon entrée sur Wikipedia



     Je naquis un ensoleillé jour du printemps. Mes premiers moments après ma naissance furent très chaleureux et au même temps sombres.

    Il me vient au mémoire les difficultés pour sortir dehors. Pour quelle sorte de raison le moment de sortir avait arrivé et je ne savais pas comme le faire. On devait faire quelque effort mais, par où commencer? Je ne sais pas combien de temps passa quand tout de suite je sentis la nécessité de pousser.Quelle surprise! J’avais une espèce d’aiguillon pas pour pousser, mais pour picorer. Alors je picorai et soudainement j’entendis un craquement. Dès seconds passèrent avant de laisser un rayon entrer. Il n’entra pas beaucoup de lumière mais je pu percevoir des sombres. Bien que je sache que quelque chose très formidable allait passer je fus un peu nerveuse. D’autre part mon ignorance reliée à la situation, me prévenait de me bouger. 

     Immédiatement quelqu’un qui était sur moi se déplaça. Je regardai et me sembla voir un être avec des plumes. Beaucoup d’idées  entourèrent ma tête mais ce ne fut pas après quelques instants que je me fus rendu compte que c’était ma mère. À partir de ce moment là jusqu’au moment elle ne se préoccupa que de moi, de me nourrir, de me laver, d’éviter les dangers, de me montrer à voler, de survenir les problèmes…

    Aujourd’hui je suis ce que je suis,  un oiseau très fier de moi et de ma famille qui continue à apprendre, qui a de défauts mais aussi de virtus et qui essaye toujours de donner le mieux de soi-même.
Lourdes, je te propose de relire ta rédaction avant que je corrige car il y a de nombreuses erreurs.

Chapitre 23


   Dans le chapitre 23 du livre, Camille nous dit qu’elle se sent très stressée. Elle se trouve dans un état où les nerfs, le rythme cardiaque, son esprit…tout est accéléré (e elle est accelerée). Cependant, (Au même temps) elle pense que rester immobile (ce) n’est pas la solution. Claude lui commente les bienfaits de la méditation et bien qu’elle ne croie pas en cette (avec ce) méthode de relaxation, il continue à lui dire que si elle a déjà atteint d'(des) autres  buts, elle parviendra aussi (y viendra) à celui- ci.

     En plus, Claude argumente pour (lui fait des raisonnements pour lesquelles) lui expliquer les effets positifs(ves) de la méditation, comme :(;) une meilleure santé et un meilleur système immunitaire. Et même (Par contre) il lui demande si elle se sent à l’aise avec cette tension nerveuse.

      Ensuite il lui montre des exercices à faire. Le premier et le plus simple est celui de s’entraî(âi)ner à respirer profondément. Six respirations par minute, pendant cinq minutes. Elle peut toujours le pratiquer (ca) , n’importe où(oú) et quand elle a(ait) le temps. Le deuxième exercic(s)e mélange les princip(l)es de cohérence cardiaque et de visualisation positive. Il s’agit d’être dans une salle tranquille et de sentir la respiration quand la poitrine se gonfle et aussi se vide. Après on ajoute une visualisation positive :;( )une idée de quelque chose, un lieu, une personne qui nous transmett(r)e de la joie.

     Finalement Claude lui offre d'aller chez Maître Wu. Elle accepte et après trois quarts d'heure de route (est aprés avoir conduit trois quarts d´heure), ils arrivent. Dans la maison se respire un air tranquille. Seul(ement) un chat qui dégage de la paix se trouve dans le salon. C'(Il) est Maître Wu. Camille, (avec) le regard étonné (détonnant) l'(lui) observe et comprend, surtout, le message de Claude.

Attention Lourdes, les connecteurs logiques que tu choisis ne sont pas toujours appropriés et la construction de tes phrases rend parfois le message obscur. De même avec la ponctuation. Je crois que tu ne te relis pas assez car ily a de nombreuses erreurs que tu aurais pu éviter (acccents, absence de déterminant...)  12,5/20

jeudi 22 novembre 2018

La lettre ouverte

Camille se sent de plus en plus nerveuse et inquiète.Elle ne peut pas s'arrêter.
Claude lui conseille de pra(c)tiquer le yoga ou un peu de méditation avec de(s) profondes respirations, pour se relaxer(âcher). En même temps, elle doit se rappel(l)er des moments agréables de sa vie et des expériences positives.
Pour mieux lui expliquer l'état qu'(auquel) elle devrait atteindre, Claude lui a proposé d'aller rendre visite à (visiter) un grand maître de la méditation :Monsieur Wu.
Après un long traje(c)t en voiture, ils sont arrivés jusqu'à(au) une sorte de ferme avec(àvec) un beau jardin, dans la campagne, où(oú) une amie de Claude les a cordialement reçus.
Finalement on lui fait faire la connaissance  du "grand méditateur": il s'agissait d'un calme et majestueux chat persan.
Camille, une fois passées sa surprise et sa déception (Après la s(o)urprise et la déception de Camille, elle) resta pendant un bon moment (des moments) avec le chat et elle se rendit compte de la paix et de la tranquillité que le chat dégageait (détache).
Elle "pardonne" la petite blague de Claude et finalement l' affaire finit par une tarte aux quetsches("pruna del frare" en mallorquín) ; elle remercie Claude pour cette expérience (et le remerciement , c'est supposé, de la Camille).

Marián, ce qui est très gênant dans ta rédaction, c'est que tu n'offres pas une concordance des temps suivie : tu passes plusieurs fois du présent au passé ou inversement. Il faut maintenir une certaine logique pour assurer une bonne compréhension.    12,5/20


lundi 19 novembre 2018

Mon entrée sur wikipedia

María Montaner
María Montaner, née le 12 janvier 1940 à Palma, fut la première personne au monde qui réussit à voler sans l’aide d’aucun moyen, ni mécanique, ni électrique. Seulement avec la force de ses muscles, la gracilité de son corps, la légèreté de ses membres. Elle fut aussi fondatrice de la Societé-Académie <on peut tou(t)s voler&gt(;) de laquelle elle fut, en fait, le seul membre (la seule) à réussir à(de) voler, malgré ses efforts pour (d’)enseigner sa technique à ses adeptes et partisans.
Biographie
Enfance
On connait très pe(a)u de l’enfance de cette femme extraordinaire. Elle naquit à Palma, sur (à) l’Île méditerranéenne de Majorque, et eut une enfance ordinaire. Elle fit ses études à la capitale de son pays, des études de Médecine, mais elle ne les finit pas. Elle préféra (de) se retirer à la maison de c(h)ampagne de sa famille, où elle resta pendant plusieurs mois, selon ce qu'elle-même raconta plus tard ,"à réfléchir (;en réfléchissant) sur moi-même et mes capacités".
Ascension vers la célébrité
À l’âge de 20 ans, Maria fit un grand saut. Elle atteignit la célébrité quand elle sauta de la partie la plus haute de la cathédrale de Palma et qu'elle glissa comme un oiseau(x) au-dessus de (sur) l’assistance réunie (congrégée dessous), qui resta épatée. Après cela, les années suivantes elle effectua plusieurs sauts impressionnants et vola autour des toits, des clochers des églises, des maisons. Beaucoup de(s) personnes la (pour)suivirent et voulurent être ses disciples, apprendre l’art de voler. Elle fonda sa société à (pour) cet effet, mais elle ne réussit jamais à enseigner son talent à aucun de ses élèves.
Problématique
Après la fondation de sa société-académie, certains médecins reconnus de l’ époque voulurent analyser ce cas extraordinaire d’un point de vue physique, physiologique, et anatomique, et forcèrent Maria à se présenter à certaines épreuves qu’elle rejeta. Elle avait peur de faire l'objet d’une vivisection. Ses partisans la défendirent, mais elle décida d'arrêter (laisser) de voler, pour ne pas attirer(crier) plus l’attention, et aussi pour éviter les nombreuses critiques qu’elle recevait en (à) raison du bas taux de succès de ses élèves (0%)
Mort
Maria mourut à l’âge de 40 ans ; c’ était l’anniversaire de la fondation de son académie de sauts, et elle décida de réaliser pour ses adeptes un petit spectacle, avec un saut et un vol, même si cela (’il) faisait longtemps qu’elle ne le faisait plus(pas). Ce dernier saut tourna à la (devint en) catastrophe : elle tomba directement sur le sol et mourut sur le coup (à l’instant).

Après sa mort, son corps fut analysé lors de (en) l’autopsie la plus longue de l’histoire, et le résultat fut surprenant : Il n’y avait rien de différent dans (à) son corps. À la question (demande) unanime du public(que) « Pourquoi n'a-t-elle (elle n’ha) pas pu voler cette dernière fois » les médecins conclurent :  elle avait acquis un certain surpoids les dernières années de sa vie. Trop de kilos pour continuer à voler.


Très original, j'ai beaucoup aimé  14,5/20

Mon portrait chinois

Mon Portrait chinois
Si j’étais un jour, je serais le lundi, quand on se réveille d’un rêve avec la gifle de la nouvelle semaine.
Si j’étais une pierre, je serais celle(-ci) qui(e) se met dans ton soulier et te dérange tout le long du chemin.
Si j’étais une saison, je serais l’hiver, si long, si froid, si ennuyeux.
Si j’étais un mot, j’en serais un (d’)imprononçable, probablement un mot en allemand, qui sonnerait (ais) comme un rugissement.
Si j’étais un matériau(el), je serais le plomb, lourd et gris.
Si j’étais un plat, pas question, je serais des œufs pourris.
Si j’étais un animal, je serais cette mouche qui t'embête en volant autour de ta tête.
Si j’étais un son, je serais, sûrement, un klaxon soutenu à l’infini, celui qui fait exploser tes tympans.
Si j’étais une profession, je serais donneur de mauvaises nouvelles.
Si j’étais un objet, je serais un réveil, un avec une sonnette qui perfore l’ouïe.
Si j’avais eu un peu plus d’optimisme, j’aurais écrit quelque chose de plus beau (belle).


Ne t'inquiète pas Maria, c'est tout de même un bel exercice.   14,5/20

jeudi 15 novembre 2018

Wikipédia



Rocío de la Vega (née Maria del Rocío de la Vega Llompart à Málaga le 17 août 1961) est une femme au foyer, fonctionnaire et (une) étudiante espagnole, également un peu artiste, écrivaine, sportive et coopératrice. Elle est, surtout, la mère de deux enfants déjà adultes.

Elle commence sa (leur) vie professionnelle en 1982 à l’École Nationale de Voile Calanova, à ce moment-là une grande école avec beaucoup de succès national(e) et international. Ce sera (Serà) dans cette ambiance, qu’elle connaîtra (a connu) son mari et les amis qu'elle (i) conserve toujours

Après avoir pratiqué (pratiquer) la voile quelques années, elle commence à jouer au (à) squash, sport qu’elle pratique pendant quatre ans, jusqu’à la naissance de sa(leur) fille. A partir de ce moment-là, elle s’occupe du soin de ses enfants et quand ils sont un peu plus grands,  elle se prépare et obtient une place aux concours de (oppositions à) l’administration publique de la CAIB. 

Pendant sa(leur) carrière professionnelle, et profitant des (les) occasions que  présenta l’administration, elle a prêté ses(leurs) services  à divers départements, dans lesquels elle a connu beaucoup de processus administratifs(ves) et a rencontré beaucoup de gens, mais dans toutes les places, elle a été appréciée (bien).  

En 1990, elle commence à se réunir (les réunions) avec un petit groupe de femmes, toutes attirées par(our) l’artisanat et(i) par(our) l’art de tricoter. Ces rencontres ont été à l'origine (la racine) de l'(u) "Atelier mardi" : un groupe d'amies qui pendant beaucoup d'années se sont vues chaque semaine pour travailler ensemble tandis qu’elles parlaient de ses choses en prenant un thé.  Cet atelier continue encore Rocio, ce n'est pas clair.

De la Vega est également une coopératrice active. Elle prête sa(leur) collaboration à diverses organisations non gouvernementales pour les aider pendant les différentes activités (actuations)  qu’elles(ils) organisent, quelles qu'elles soient (soyez celles qui sont).

Beau personnage  13,5/20

mercredi 14 novembre 2018

Mon portrait chinois

--> Si mon routinologue me recommandait, comme Claude l’a fait à Camille, de chercher une personne que je voudrais modéliser, je chercherais une célébrité reconnue dans l’histoire du cinéma, et je choisirais, sans aucun doute, Lauren Bacall.
Si je choisissais de (à) me modéliser comme Lauren Bacall c’est parce que je voudrais avoir, comme elle, un 
corps fin et voluptueux , une longue stature, des cheveux ondulés et blonds, et le mystérieux, fier(ère) et pénétrant regard de ses yeux vert clair, félins, érotiques et séduisants.  Si je me modelais comme Lauren Bacall j’obtiendrais aussi l’image d’une femme élégante, forte, lutteuse, indépendante et autosaisissante?.
Avec ma bouche grande et voluptueuse je prononcerais, d’une voix grave et profonde, des mots qui répandraient (étendriont) autour de moi érotisme et glamour. J’aurais aussi un sourire ironique et nonchalant qui serait l’expression d’un fort et intelligent sens de l’humour.
Je serais aussi altière, sarcastique, insolente et défiante, mais en(au) même temps je me montrerais douce, romantique, vulnérable et accueillante, et je déconcerterais ainsi mes observateurs et fans.
Si j’étais une reine, comme l’a été Lauren Bacall, je tomberais amoureuse aussi d'un beau chevalier servant (galant) qui serait égal, égal, égal d’authentique que Humphrey Bogart.
Si j’étais comme Betty et que j’avais l’amour de quelqu’un qui serait (était) comme Bogie, nous nous consacrerions (dédierions) aussi au cinéma et nous deviendrions des amoureux mythiques parce que nous serions des magiciens sur la scène et nous montrerions au monde nos(tre) charme et complicité de couple de vedettes devenues Divas(es).


Je te vois très bien avec une chevelure courte crantée si caractéristique de cette époque.   15/20



 

Mon entrée sur Wikipedia

Manuel Ruiz Puig, né à Ciudad Real le 8 décembre 1978 est un vétérinaire espagnol qui consacre (dédie) sa vie à soigner les animaux.
C'est après avoir passé trois étés dans un petit village de la montagne de León entouré de vaches qu'il a découvert sa passion pour les animaux. Dans ce village appelé Redipuertas, il accompagnait le (au) berger chaque jour, guidant les vaches aux bons pâturages, les aidant au (dans le) moment d'accoucher et même en allant chercher les petits veaux nés pendant la nuit pour les ramener avec le troupeau et ainsi éviter qu'ils soient dévorés par les loups sauvages qui habitaient dans les montagnes.
Premières années
Il passa son enfance à Ciudad Real, une petite ville à deux cents kilomètres au sud de Madrid. Une enfance calme et heureuse. Il assista à l'école maternelle Jorge Manrique dont il fut un bon élève. Le lycée choisi par ses parents fut Nuestra Señora del Prado et c'est pendant ces quatre ans qu'il décida d'être vétérinaire.
Les études vétérinaires
Il commença ses études à Madrid à l'Université Complutense en 1996. Il réussit les quatre premiers cours sans problème et comme cadeau(x) ses parents lui offrent l'opportunité de les finir à L'École nationale vétérinaire de Nantes, et il accepta.
À Nantes, il fera donc sa dernière année d'études et il restera encore un an pour faire une thèse en microbiologie (pyodermite et infections urinaires) soutenue à Madrid (distinction (licence d'honneur) cum laude) et une formation de spécialisation en petits animaux, c'est-à-dire, chiens, chats et petits mammifères tels que rongeurs et furets.
Vie professionnelle
Il commença à travailler à Epernay dans un cabinet mixte,  consacrant son temps à parts égales entre le (dédié 50% )bétail et les (50%) chiens et chats. Il avait découvert (découvrit) sa vocation avec les vaches, mais dans ce village champenois, il sentira que ce ne sont pas les vaches qui l'attirent le(s) plus, et donc, il quittera Epernay pour guider ses pas vers les petits animaux et rentrer dans son pays.
Il continua à se former en faisant un internat à l'hôpital vétérinaire San Vicente del Raspeig à Alicante où il resta un an.
Après cette période, il passera un an à Altea (Alicante) dans une petite clinique, ( en) étant chargé des urgences et de l'attention au public.
La clinique, étant trop petite, devint ennuyeuse et en conséquence, il sauta la Méditerranée pour aller travailler à Palma de Majorque dans une grosse clinique, l'Hospital Canis, au service des(')urgences, où il passa 3 ans.
Toujours à Palma, son étape suivante (pas) sera d'être chef des(')urgences de l'hôpital Calandrí où il demeura (y fut) un an et demi.
Lassé (Fatigué) des urgences, en Juin 2009 il ouvrit(a) son propre cabinet vétérinaire où (dont au jour d')aujourd'hui travaillent quatre vétérinaires et deux asv.
Actualité
Il est chargé des chirurgies, spécialité dans laquelle il fit un master en 2017, à l'Université de Valence (Espagne)(ia) et aussi de l'odontologie, s'étant formé dans (sur) ce domaine à l'université du Luxembourg et à l'université de Madrid en 2018.

Très beau parcours Manu  16/20 




mardi 13 novembre 2018

Un premier test

Je crois que j'ai réussi (reusi) à entrer dans le blog.
C'est la première fois que j'appartiens à un blog. Je m'en (me) réjouis beaucoup .
J'ai déjà livré ma rédaction a la professeure Albane parce que je ne pouvais pas accéder  au blog.
J'ai déjà lu les autres rédactions très complètes et correctes...
Dorénavant je vais la rédiger directement ici.

Au revoir !

Marián


L'accord des adjectifs de couleur

Une petite piqure de rappel :

L'ACCORD DES ADJECTIFS DE COULEUR

Publié le  par Nicolas Koch
Aucune difficulté vous allez dire ? Certes, mais il y a quelques subtilités qu'il m'arrive de corriger régulièrement.

CAS GÉNÉRAL

Comme la plupart des adjectifs, ceux désignant des couleurs "classiques" s'accordent en genre et en nombre avec le nom qu'ils déterminent :
  • Des fleurs bleues ;
  • Des volets verts ;
  • Des lumières blanches, etc.
Lorsque l'adjectif de couleur est composé, il devient invariable :
  • Des voitures bleu-vert ;
  • Une chemise bleu clair ;
  • Des robes vert foncé, etc.
Selon le sens que l'on voudra donner, on pourra ne pas accorder :
  • Des chevaux noir et blanc = chaque cheval est noir et blanc ;
  • Des chevaux noirs et blancs = il y a des chevaux noirs et des chevaux blancs.

LORSQUE L'ADJECTIF EST UN NOM (D'UN FRUIT PAR EXEMPLE)

Dans cas, l'adjectif reste invariable :
  • Des robes marron ;
  • Des vestes orange ;
  • Les eaux turquoise, etc.
Voici quelques-uns des adjectifs invariables les plus courants :
  • Marron, orange, kaki, turquoise, or, olive, marine, grenat, citron, abricot, prune, argent, ambre, azur, bourgogne, cerise, menthe, indigo, pistache, noisette, chair, lavande...

QUELQUES EXCEPTIONS

Quelques adjectifs faisant référence à des noms sont tout de même à accorder :
  • fauve, rose, mauve, pourpre, écarlate : des robes fauves, des joues écarlates, etc.

dimanche 11 novembre 2018

Mon portrait chinois


  • J'aurais aimé avoir l'altruisme et le patriotisme d'un Modibo Keïta, la bravoure d'un Tomas Sankara, la patience et la bonté d'un Nelson Mandela, l'intelligence et la détermination d'un Einstein, le charisme d'un Andres Iniesta, la générosité et la persévérance d'un Naruto, la force d'un Soundjanta Keïta, la rapidité d'un Lee, la fidélité d'un Chein, et enfin l'amour authentique d'une Mère.
C'est un peu court Nouhoum, il y avait d'autres éléments pour s'identifier. 13/20

Mon portrais chinois

Si j’étais un animal, je serais une gazelle(a) pour avoir son élégance , puisque elles le(s) sont même si elles sont en danger.

Si j’étais une couleur, je serais le bleu, le bleu méditerranéen parce qu’elle est la mer qui est(ets) dans ma nature .

Si j’étais une fleur, je serais la rose, pour parfumer autour de moi avec mon essence (ésénce) et délecter tout le monde au fil(s) des ans.

Si j’étais un métal, je serais l’acier, pour être dur devant les adversités et malléable pour le quotidien.

Si j’avais été (étais) une période historique que j’aurais voulu vivre j’aurais été la Renaissance parce qu’elle a été pleine d’art magnifique dans toutes les disciplines.

Si j’étais une actrice, je serais Meryl Streep pour(ar) sa polyvalence et sa facilité à (pour) interpréter(é) n’importe quel personnage.

Si j’étais un scientifique, je serais (sérais) Alexander Fleming pour aider tout le monde devant les maladies infectieuses(uex).

Si j’étais une invention, je serais (sérais) une roue pour voyager autour du monde.

Peu importe (N’importe pas) que tout ça soit seulement un rêve, nous devons nous accepter comme nous sommes mais avec le désir de nous(’)améliorer.

Je suis tout à fait d'accord avec toi pour Meryl Streep  13,5/20

Mon portrait chinois

MON PORTRAIT CHINOIS

Si j’étais un geste, je serais un sourire parce que cela ne coûte rien et produit beaucoup de bien à qui le reçoit.

Si j’étais une fleur, je serais le jasmin pour sentir bon et parfumer tout(r) ce qui m’entour(n)e.

Si j’étais un fruit, je serais un ananas parce qu’il est juteux, doux et sent très bon (bien).

Si j’étais une odeur, je serais celle qu'(celui-là qui) exhale une(a) tasse de café frais, cette odeur est stimulante pour bien commencer la journée.

Si j’étais un véhicule, je serais une voiture électrique pour ne pas polluer l’environnement.

Si j’étais une ville, je serais n’importe laquelle pourvu qu'elle soit en bord de (mais toujours qu’elle ait la) mer.

Si j’étais un super pouvoir, je serais celui d’être capable de parler toutes les langues et de comprendre tout le monde.

Si j’étais un paysage, je serais une plage aux eaux turquoise, calmes et cristallines, parce que cela m’apporte bonheur et tanquillité d’esprit.

Si j’étais une saison, je serais le printemps parce qu’à ce moment-là a lieu le renouveau de la nature, avec ses plus longues et plus chaudes journées.

Si j’étais un défaut, je serais l’impatience parce que je ne peux supporter ces gens qui ont l’habitude d’arriver en retard sans raison.

Mais comme tout ça (c’)est une hypothèse, on doit essayer d’améliorer nos défauts sans minimiser nos petites ou grandes vertus.

Joli portrait Joana 15/20


samedi 10 novembre 2018

Le portrait chinois

Je désirerais avoir un bon critère pour donner priorité aux choses qui sont importantes pour notre bonheur et aussi pour le bonheur des autres, et laisser tomber (faire) celles qui sont futiles.
Danser comme les grands danseurs qui s’élèvent dans les airs (l’air) avec des bonds incroyables qui sont exécutés avec une facilité étonnante.
Avoir un quart de l’intelligence et de la persévérance des personnes,  hommes et femmes, qui ont dédié leur (sa) vie aux études de sciences médicales. J’admire Rita Levi Montalcini, prix Nobel  de Méde(i)cine  1986.
J’aimerais avoir la facilité d’écrire de belles histoires bien racontées avec les mots précis pour exprimer des sentiments et des émotions que(i) je ne sais pas décrire,  et quand je les ai lus dans un livre, j’ai pensé « C’est ça ce que je ressens ».
Je voudrais posséder un petit brin de l’élégance innée de la chanteuse Maria Dolores Pradera. 

C'est un peu court Pepa, il nous manque encore des éléments.  13/20 

vendredi 9 novembre 2018

Portrait Chinois

Si j'étais une saison,
 je serais l'été pour profiter de la durée de la lumière.

Si j'étais un paysage,
 je voudrais être la mer pour m'y (e) plonger  comme les poissons.

Si j'étais un vêtement,
 j'aimerais les pantalons pour me mouvoir (bouger) sans aucune préocupation.

Si j'étais un événement historique,
 je serais la découverte de la (u) roue pour observer les mines incrédules des créateurs.

Si j'étais une fleur,
 je chois(s)irais le galant de nuit (un cestreau nocturne) pour parfumer toutes les terrass(c)es qui m'(e) entourent.

Si j'étais un bruit,
je préférerais (preferirais) celui des vagues choquant contre les rochers.

Si j'étais un style de musique,
j'incarnerais celui des années (écouterais les) 80(s) pour ne pas arrêter (ârreter) de dans(c)er.

Si j'étais un élément,
je serais le feu pour réchauffer toutes les personnes qui habitent dans la rue en hiver.

Si j'étais un animal,
je chois(s)irais le chien, pour montrer au monde que les personnes peuvent apprendre beaucoup de choses d'eux.

Si j'étais une personne,
ma mère occuperait(s) le lieu avec sa patience et ses manières de faire plaisir à tous.

 Je suis comme je suis, par contre j'e(é)ssaie d'apprendre  de toutes les petites choses et des personnes qui m'(e) entourent.


J'aime bien ton portrait Lourdes 14,5/20

Mon portrait chinois

Mon portrait chinois

Ce soir Madame Luec,
Notre prof de français,
Nous demande de faire
De la Chine nos portraits.

La tâche semble futile,
Et (Mais) pour ma tête sénile
Cela n'est pas facile,
De trouver mon profil.

L'exercice est vraiment
Un p'tit peu ennuyant.
Peut-être en rimant
Est-il plus amusant.

Aussi s'est profilée (Et j'ai eu) l'intention
D'ébaucher mon dessin
Avec l'inspiration
Des histoires de Tintin.

Voilà, donc, mon esquisse :
De Tintin je choisis
Son courage infini
Contre toute injustice.

Du capitaine Haddock
Je vais prendre plutôt
Son sens de l'amitié
Et son honnêteté.

Tournesol est pour moi
Un personnage sympa
Dont je pourrais tirer
La(Sa) grande génialité.

Les inspecteurs Dupondt
Seraient un parangon
De la résolution
Dans leur obstination.

De l'ami chinois Tchang
Je tirerai à l'instant
L'une des plus grandes vertus:
Celle de la gratitude.

La grande prima donna
Castafiore, Bianca, 
Est qui me transmettra
Sa maîtrise des arts.

Par (D')ailleurs, la qualité
De la fidélité
Je la copierai (remporterai)
De Milou, le fox-terrier.

Il faut que je m'arrête.
Je ne voudrais pas être
Outre mesure intègre
Et mon(l')humanité perdre...

Enfin, pour ma défense,
Je demande l'indulgence
Et surtout la patience
Qu'Albane a en abondance.


                   Toni Sbert
                   Novembre 2018

Bon exercice Toni 16/20