jeudi 14 février 2019

Lettre ouverte

Palma le 14 février 2019
        À l'attention de Mr le président du Conseil Constitutionnel, 

        Étant près des élections parlementaires, je vous écris pour vous demander comment est-il (en est) possible qu'un parti politique comme VOX puisse se présenter librement aux élections et que ses représentents soient élus par la population bien que, d'après son programme électoral une grande partie de ce qu'ils prônent (s d'est-ce qu'ils promeuvent) est clairement inconstitut(c)ionnel.

       Dans la carta magna de l'état espagnol est bien marqué que tous et toutes sont égaux(l) face à la loi, et que tous et toutes doivent être protégés par cette loi, donc, un mouvement politique d'extrême droite qui croit fermement (très fort) que la femme maltraitée n'a pas besoin d'une loi de protection spéciale (especial) est en train de dire que la femme est un citoyen de deuxième catégorie.

       De même pour les homosexuel(le)s, aussi considérés dans son programme comme s'ils étaient différents et donc (pour tant ils) doivent perdre les droits qu'ils ont obtenus petit à petit au cours des décennies (décades) non (et pas) sans de nombreuses (pas mal de) souffrances.

      De même (Pareil) pour les étrangers qui habitent dans notre pays, pour ces politiques ils sont aussi divisés en catégories. Il y a les étrangers européens, et donc (pour tant) considérés comme légaux, et après les immigrés d'Afrique, les Sud-américain(e)s ou les Musulmans, qui font d'ailleurs un grand travail dans la société, employés, très souvent (beaucoup de(s) fois), à des postes (en posts) que personne ne veut (pas) faire, et qui sont venus chez nous fuyant des crises économiques graves, (de) la guerre, des poursuites pour leur (par sa) condition de femme ou condition sexuelle, etc. Des gens qui ont décidé de partager leur (sa) vie avec nous mais qui n'ont pas de(un) contra(c)t de travail, et donc, sont considérés comme illégaux, (que) qui sont parmi (entre) nous depuis des années et qui(e')à son avis, doivent être renvoyés dans leurs (ses) pays d'origine.

     Sincèrement, si jamais ils arrivent au pouvoir, et s'ils commencent à mettre en route toutes leurs (ses) idées clairement discriminatoires qui vont contre les lois en vigueur (cela ne sera pas dans la loi courante), et donc je me demande comment le Conseil Constitut(c)ionnel permet à ce genre de parti, avec ces idées, de s'y présenter vu qu'ils sont hors la loi.

     Donc (Pour tant), je suis obligé de vous demander de les proscrire et comme cela éviter des futures situations très discriminatoires qui veulent nous enlever des droits.

     Je vous prie d'agréer mes salutations les plus distinguées.

(Bien cordialement)

Manuel Ruiz


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Lettre ouverte pour que l'on puisse se promener sans marcher sur une crotte (merde) de chien


(Voici la lettre ouverte de Maria, c'est moi qui la publie car elle ne peut pas)

Palma, le 12 février 2019


Monsieur le Maire de Palma, Monsieur le Préfet de Police de Palma,


                Ces derniers mois, on a souffert de l'augmentation du nombre de crottes de chien (aux revêtements de) dans nos rues. Je suis une citoyenne indignée, comme beaucoup d'autres habitants de Palma (Palmisans), irrités par la situation que l'on doit subir (à laquelle on participe). On assiste quotidiennement à une rapide dégradation de nos rues les plus emblématiques, de nos avenues et rues piétonnes, les parcs et les jardins et, (si) bien que j'en ignore encore la cause, je peux imaginer que cela est la conséquence d'un laisser-aller général de la part de la Mairie, la préfecture de police et les propriétaires des chiens, bien sûr.

                Je tiens à rappeler que quelques années en arrière, la Mairie a fait quelques progrès dans ce domaine. Elle a réussi à installer dans les rues des distributeurs de sacs en plastique pour la récolte des dépôts(dêpots) des animaux, elle a créé aussi une campagne destinée aux citoyens, particulièrement à ceux qui posèdent une bête, pour leur faire prend(e)re conscicence de la nécessité de ramasser les excréments (éxécrements ); à la fin, grâce a ses efforts, une culture du respect et de la citoyenneté était en train de s'installer à Palma. Mais depuis quelques mois, j'ai réalisé que tout cela est fini. Plus (Pas) de campagnes, plus (pas) d' annonces,  plus d' (pas de) invitations  subtiles ni formules d'appel à la responsabilité. D'un autre côté, la diminution du contrôle policier est aussi évidente. Auparavant, les  agents de police comptaient parmi leurs (entre ses) tâches celle(-ci) de surveiller et garantir la gestion correcte des déchets des chiens. Il y avait même une correctamende (amande) à payer si on ne ramassait pas les excréments. Maintenant, pas de police, pas d'amende, personne ne surveille que les normes minimum(es) d'hy(i)giène soient respectées.

               Un autre facteur qui empire la situation, c'est le clair relâchement (rêlachement) des services de nettoyage. La "merde" reste dans la rue pendant plusieurs jours. Plusieurs passants marchent dessus (sur elle), la piétinent, et elle s'étale tout le long du sol. Résultat : au lieu d'une crotte (de une merde), on en a sept. L'odeur est insupportable. L'aspect de la rue, déplorable.  C'est dans ce contexte que nous, habitants du centre-ville, sommes indignés et très déçus par la nouvelle direction de cet aspect de notre Mairie : la direction du “je m'en foutisme”.

           On est témoi(g)ns d'une dégradation de notre ville à cause principalement de la faute de respect (réspect) et civisme des propriétaires des chiens et la néglige(a)nce et le laisser-aller des autorités. La résultat, c'est l'état pénible de nos rues. Pour marcher dans la rue, il faut faire très attention où on met les pieds. On dirait que c'est comme (de) marcher sur un champ de mines,  en essayant toujours d'éviter de mettre le pied sur une grande et moelleuse défécation. À cause d'un manque de('un) contrôle (control), d'une surveillance et d'une propreté dignes, les rues du centre-ville sont devenues un lieu désagréable, ce qui m'a motivée pour écrire cette lettre ouverte, avec le complet soutien de mes voisins.

           Je demande, alors, que la Mairie de Palma s'engage sous (dans) toutes les formes possibles (nettoyage, campagnes de sensibilisation, distribution (facilitation) d'outil(e)s de ramassage) pour éviter l'acumulation des crottes (merdes) dans la rue.

           Je demande a la préfecture de police de Palma d'augmenter la surveillance et de renforcer les normes et les ame(a)ndes pour punir les irre(é)sponsables.

         Je demande, enfin, aux propriétaires des chiens, un peu de re(é)spect pour (par) les voisins, et pour (par) la ville même où nous tous habitons (aù nous tous y habitons).

Dans l'attente de votre réponse, je vous prie d'agréer, Monsieur le Maire, Monsieur le Préfet, mes meilleures salutations.

(Cordialement,)
                                                               María Montaner.



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mercredi 13 février 2019

LETTRE OUVERTE


Palma, le 10 février 2019

Monsieur le conseiller d’Education des Iles (illes) Baléares.

     Je vous écris cette lettre ouverte sur notre journal local dans(à) l'intention de vous faire connaî(âi)tre mes sentiments et aussi apporter ma réflexion (penser) sur un sujet très important comme (c')est l'éducation de nos jeunes dans les écoles.
     En(Au) même temps, je veux dénoncer un fait qui m’a beaucoup inquietée sur cette problématique.
Il y a  des écoles publiques/sous contrat (concertées)/privées en rapport aux lois déjà établies dans notre pays et communauté autonome(ique). Je suis pour l'éducation des garçons et des(les) filles dans la même école, c'est-à-dire: la coéducation.
    Jusqu'à(au) ce moment, je croyais que pour qu'(e) une école publique ou sous contrat puisse bénéficier (concertée pourrais'aprofiter) de l'argent public(que), il fallait qu'elle suive (faudrait-il qu'elle suivrait) les règles données par les lois éducatives en vigueur (vigentes) dont la coéducation fait partie (est une d'entre elles) et est très importante à mon avis.
    Cette règle n'est pas appliquée (Ce fait n'est pas accompli) dans toutes les écoles à Majorque.Par exemple l'autre jour, je me promenais près de l'université (UIB) .Tout à coup j'ai entendu les cris joyeux d'une cour d`école. Il s’agissait d’un groupe de jeunes filles dans la cour d’un énorme bâtiment entouré d’arbres, de monta(i)gnes, et  de champs cultivés...en plein air...
     Les jeunes filles auxquelles j'ai(vais) demandé les noms de ces bâtiments m'ont raconté qu'il s'agissait de deux écoles appellées AIXA et LLAÜT, sous contrat (concertées), bien sûr.
     Arrivée à ce point, (Viens ce moment,) Monsieur le conseiller,  je me demande ce qui suit: pour quelle raison ont-elles, ces (les) écoles, le droit de(à) recevoir de l'argent public(que) si :
1-Elles ne respectent pas la co.éducation(lois nécessaires pour accéder aux fonds publics).
2-On ne (se) respecte pas la liberté de culte(s). Même les parents doivent passer par une sorte d'examen à propos de leurs principes religieux.

    Le but de cette lettre ouverte (c')est la demande d'un contrôle PUBLIC(QUE) de cette situation évidemment(ntment) injuste et irreguliêre(er) pour l'ensemble des écoles publiques, de plus en plus pauvres et en manque (manquée) de ressources.
   Pour finir, j'espère que je n'écris et ne publie pas cette lettre (en espérant que cette lettre ne sera pas publiée) en vain (vainement).
   Salutations respectueuses.


Marian Barcelo.
Enseignante à la retraite.

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mardi 12 février 2019

Lettre ouverte




Lourdes Covas                                                                                 EMAYA
Camí de Son Llagosta 16
07002 Palma
                                                                                                   
                                                                                     Palma, le 12 Février 2019
                                                                                                                         

Objet : Les conteneurs de ma rue


Monsieur le Directeur,

          La raison de vous envoyer cette lettre est celle de manifester mon mécontentement, après votre (la) décision d'enlever les conteneurs qui étaient dans notre rue et de les avoir installés (emmenés)  très loin de notre rue.

         Hier soir, j'ai téléph(f)oné à votre bureau pour demander des explications. L'unique explication que j'ai reçue pour une telle décision a été (c'est) celle de donner plus de (procurer) sécurité à toutes les personnes qui habitent dans ma rue. Alors, à partir de maintenant (ce moment), nous devons descendre par une rue qui n'a pas de trottoir pour arriver aux conteneurs et jet(t)er les ordures. Peu importe qu'il fasse froid, pleuve, neige ou que ce soit la nuit.. ils ont été deplacés là pour notre sûreté!. En plus, pour recycler, les conteneurs se trouvent plus loin, dans la(e) rue principale avec le danger de toutes les voitures qui ne réduisent pas la vitesse.

        Il semble que vous n'ayez pas pensé à tous les voisins du quartier : les enfants, les personnes âgées.... Il est évident que la situation pour nous a empiré. Même si vos intentions, au début, étaient bonnes, vous n'avez pas tenu compte de tous les dangers engendrés par (envers) cette décision.

       Étant donné que remettre les conteneurs où ils ont toujours été(, ce) n'est pas une tâche très compliquée, je vous demande qu'ils (e) soient rapportés (menés) au lieu d'origine. Il faut penser à la sécurité (Tout y pensant en la santé) de tous.

      Dans l'attente de votre réponse, je vous prie de considérer nos besoins.
 
Mes meilleures salutations,

  Lourdes Covas


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